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12 choses que vous ignorez peut-être sur les taxis de Paris

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Taxi parisien (photo: jean pierre gallot)

Au-delà des rivalités entre entreprises et de ses effets sur les clients, que savez-vous des taxis?

Savez-vous comment ils fonctionnent, les droits et devoirs des chauffeurs de taxi, les petits ennuis et le jargon de l'industrie?

Voici les 12 choses que vous ignorez peut-être sur les taxis parisiens.

Une profession masculine

Quatre-vingt-treize pour cent des chauffeurs de taxi à Paris sont des hommes.

Il y a plus d'hommes qui travaillent comme sages-femmes que de femmes qui travaillent comme chauffeurs de taxi.

Taxis et paramédics

Il y a 55 000 taxis en France, dont 20 000 à Paris.

Et pourtant, dès que vous quittez le centre de la capitale et les aéroports, que vous soyez à l’est de Paris, en banlieue, dans une métropole régionale ou une ville moyenne, il devient difficile d’en trouver un.

Où sont les 35 000 autres taxis? Que font-ils?

Réponse: ils conduisent des patients à l'hôpital. C'est le «transport assis de personnes». Trouvez des opportunités pour les meilleurs services.

X est le prix à payer

À Paris, il existe trois types de tarifs par kilomètre, qui s'appliquent différemment selon les zones géographiques.

Attention, ça peut être déroutant:

  • Le tarif A est valable pour la zone urbaine de 10h00 à 17h00 du lundi au samedi.
  • Le tarif B est valable de 7h à minuit du lundi au samedi et les jours fériés
  • Le tarif C est valable à partir de 7h les dimanches et jours fériés.

La licence de taxi, qui garantit le droit d'exercer la profession en stationnant son taxi dans des emplacements réservés, est vendue à la fin de la carrière du conducteur.

La licence n'a pas la même valeur partout.

Il est généralement estimé à 240 000 USD à Paris, 100 000 USD à Marseille, 80 000 USD à Arras et 40 000 USD en Saône-et-Loire.

Deux clientèles distinctes

Bien sûr, tout le monde est libre de prendre un taxi. Mais, il y a une coexistence de deux clientèles qui ne se croisent jamais.

Premièrement, il y a ceux qui prennent des taxis le jour, des hommes ou des femmes voyageant pour affaires, souvent dans la quarantaine ou la cinquantaine, qui ne regardent pas les dépenses, paient par carte de crédit et les facturent comme une dépense d'entreprise.

Ces clients privilégiés, parfois abonnés du même chauffeur pendant de longues périodes, se contentent de sonder les quartiers de l'ouest parisien, allant d'un hôtel particulier à un siège social, d'un restaurant à un magasin.

Sans parler, bien sûr, des gares et des aéroports.

Deuxièmement, il existe des clients qui louent un taxi le vendredi ou le samedi soir, souvent âgés de 20 à 35 ans, pour lesquels il s’agit là d’une dépense exceptionnelle.

Il existe des taxis garés sur des voies publiques, sur des espaces qui leur sont réservés: ce sont des stations de capacité variable.

Certaines de ces stations (il y en a 116 à Paris) sont équipées d'un terminal téléphonique.

On peut théoriquement commander un taxi en appelant le terminal par téléphone, par exemple de chez soi. En pratique, les numéros de terminaux ont parfois été réaffectés à des particuliers ou à des commerçants.

D'autre part, 300 autres terminaux dans servent uniquement à «stocker» les conducteurs qui attendent.

Ce sont les municipalités qui sont responsables de l’entretien des gares, une tâche qu’elles accomplissent (plutôt mal) contre une contribution de 17 dollars par trimestre, versée par chaque taxi.

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Cette histoire vous a été présentée en partenariat avec Airport Transfers Direct.

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Écrit par Terra Incognita

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