Hey, vous connaissez la routine, n’est-ce pas ? Lorsqu’on est sur le point de s’envoler dans les nuages, on cherche à se vêtir pour obtenir un maximum de confort. Que ce soit pour végéter au terminal en attendant le vol où pour s’auto transformer en burrito dans son siège en classe éco, confort rime avec survie. Cependant, il se trouve un vêtement bien précis qui ne vous rendra pas service.
Si certains accessoires du dressing sont à blacklister en vol, pour des considérations de sécurité (les indétrônables leggings ou escarpins par exemple), d’autres s’invitent sur la liste noire par souci simple de bien-être.
Il vaut mieux, dans la mesure du possible, privilégier des coupes amples, qui permettent un bien-être optimal. Pensez également à l’art de superposer les couches de manière stratégique. Après tout, même si vous vous rendez à Tahiti, l’ambiance frisquette d’une cabine pressurisée vous cueille toujours à froid. Donc, adieu jeans taille basse et hauts près du corps si vous voulez être, disons-le clairement, peinard dans votre vol.
Un trublion du bien-être à bord : le sous-vêtement
Mais, il se cache parmi vos sous-vêtements un intrus qui n’a pas sa place lors d’une évasion céleste. Surprise… Il s’agit du vénérable soutien-gorge ! Pour être plus précis, nous visons surtout les soutiens-gorge à armatures.
S’accorder une bonne virée aérienne avec ce genre de harnais, c’est risquer courbatures et marques disgracieuses sur votre peau. L’ennui, c’est qu’à la longue, cet inconfort peut tourner à la géhenne. Pour couronner le tout, la présence de métal dans la structure peut s’avérer être un véritable boulet de canon en cas de passage sous portique de sécurité, évoque Cosmopolitan.
Si vous êtes déjà convertie au courant « no bra », alors prenez votre vol avec sérénité. Vous verrez, c’est une des meilleures décisions que vous n’aurez jamais prises. Pour celles qui sont réticentes à l’idée de voler sans soutien-gorge, une petite astuce : adoptez donc la brassière, en coton si possible.